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Actualité...d`hier à aujourd` hui !
16 janvier 2016

Religions : L’information sacrifiée sur l’autel de la religion”

Salut à tous,  

westphal4HR-no-scale

Du site Reporters sans frontières :

   ¨ Nombreux, trop nombreux sont les pays où l’information et ses acteurs doivent affronter tous les jours une censure bien particulière et redoutable : celle qui s’exerce au nom de la religion voire de Dieu lui-même. De plus en plus souvent, cette volonté de faire pièce à la liberté d’informer invoque le très subjectif et difficilement définissable “sentiment des croyants”. Lire la suite

  
Ce contexte est lourd de risques. Reporters sans frontières en dresse l’état des lieux, assorti de recommandations, dans son rapport “Blasphème : L’information sacrifiée sur l’autel de la religion” rendu public ce 12 décembre 2013. A l’appui de multiples exemples traités par l’organisation au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie, mais aussi dans certaines régions d’Europe (le continent américain faisant ici exception), ce travail s’articule en trois temps.
 
 Le premier s’attache à décrire les entorses au droit de savoir, parfois cruelles, brandies sous l’onction du sacré. Il révèle en même temps combien le couperet religieux contre les journalistes et les blogueurs sert avant tout des intérêts politiques. Bien rares, en effet, sont les cas où la censure tombe pour punir un blasphème ou l’atteinte supposée au dogme.
  
   Le deuxième temps du rapport explore les différentes formes de législations sanctionnant les atteintes à la religion ou au dit “sentiment des croyants”. De telles lois ont cours dans près de la moitié (47 %) des États de la planète. Si seuls les États islamiques les plus durs prévoient des peines – parfois de mort – pour “apostasie” (le fait de renoncer à la religion), le blasphème reste passible des tribunaux dans pas moins de 31 pays, dont la Grèce, l’Italie ou encore l’Irlande, qui a remis le délit au goût du jour en 2010. Dans 86 États, la “diffamation des religions” relève du domaine pénal.
  
   Le troisième et dernier temps du rapport revient sur les conséquences diplomatiques générées par la représentation de la religion dans la sphère publique, à l’heure d’Internet et de l’information globalisée.
  Un nouveau front s’ouvre dans le combat pour la liberté de l’information¨...   ( Voir l`article au complet )
Pégé
 
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