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Actualité...d`hier à aujourd` hui !
11 novembre 2016

Des milliards investis dans la congestion au Québec !

Salut à tous,  

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Du site La Presse+ : On parle de développement durable et de transition énergétique. On s’oppose aux projets de pipeline et à l’exploration pétrolière. On rêve d’électrifier les transports. Mais on ne réalise pas, pendant ce temps, que les Québécois investissent des sommes record dans la congestion.

   ¨ L’ampleur du phénomène passe inaperçu, il est pourtant impératif d’en parler. Depuis la récession de 2009, les ventes d’automobiles au Québec ne cessent de grimper, à un taux de croissance annuel moyen de 4,2 %… bien au-delà de la croissance de l’économie ou de la population.

   Et les Québécois délaissent les voitures : il s’en vend de moins en moins année après année, alors que les « camions légers » (véhicules utilitaires sport et camionnettes) prennent le dessus. Les ventes de voitures neuves ont chuté de 30 000 unités entre 2009 et 2015, mais ont augmenté de 85 000 unités pour les camions – parce que c’est ainsi qu’il faut les appeler. En 2015, les ventes de véhicules neufs ont représenté 10 % de la taille du parc, soit 450 000 nouveaux véhicules sur les routes.

   Les quelque 6000 voitures électriques vendues par an sont parfaitement anecdotiques.

   Les Québécois ne veulent tout simplement plus de voiture, électrique ou non. Ils veulent un camion.

Une myriade de problèmes !

   On se dit en période de rigueur budgétaire. On sait que le transport en commun a besoin de plus d’argent. On débat sans fin sur Uber et on refuse que les véhicules en libre-service stationnent librement à Montréal. Mais on ne dit rien sur le fait que les Québécois trouvent le moyen de dépenser encore plus d’argent pour le problème routier. Un problème qui est en fait une myriade de problèmes : les gaz à effet de serre, la pollution de l’air, les accidents, le bruit, le coût des infrastructures et de la corruption en construction, le manque d’activité physique, l’endettement croissant des ménages, l’étalement urbain… et la liste pourrait s’allonger.

   Il est temps d’amorcer un semblant de changement, de notre développement  éphémère basé sur un char toujours plus gros, toujours à changer, à un
développement durable – ou appelez-le comme vous voudrez : transition, économie verte, sobriété carbonique. Le nom importe peu, il faut changer
quelque chose dans ce que nous faisons, pas seulement dans notre discours¨...  ( Voir le texte au complet )

http://plus.lapresse.ca/screens/d05eb4be-dc14-4027-aefe-81b783abfd91%7C_0.html

Pégé

  

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